beaucoup de mes amis sont venus des nuagesnavec soleil et pluie comme simples bagagesnils ont fait la saison des amitiés sincèresnla plus belle saison des quatres de la terrennils ont cette douceur des plus beaux paysagesnet la fidélité des oiseaux de passagendans leur coeur est gravée une infinie tendressenmais parfois dans leurs yeux se glisse la tristessennalors ils viennent se chauffer, chez moinet toi, aussi, tu viendrasnntu pourras repartir au fin fond des nuagesnet de nouveau sourire à bien d'autres visagesndonner autour de toi un peu de ta tendressenlorsqu'un autre voudra te cacher sa tristessenncomme l'on ne sait pas ce que la vie nous donnenil se peut qu'à mon tour je ne sois plus personnens'il me reste un ami qui vraiment me comprennenj'oublierai à la fois mes larmes et mes peinesnnalors, peut-être, je viendrai, chez toinchauffer mon coeur à ton bois