Tu ne perds rien pour attendrenJe t'aime et te gardenAinsi que ton trésor enfouinEt si les larmes coulent de sourcenC'est qu'elles la prennentnAux confins de ta chère galaxienTu restes mon aminTu restes mon aminnBien sûr ici la cité s'acharne à branler nos durites nRite de l'amnésienInsoutenable légèreté de l'êtrenEt quand les câbles ont lâché,on en a vu des doigts des doigtsnDes doigts sur toi pointés, maisnTu restes mon aminTu restes mon aminnIl est une âme que je ne perd pas de vue,vue de l'espritnComme un frère comme un signe comme une énergiennSi l'aérographe est cabossénEt que tout, désormais, doit être tristenAu delà des Dieu seul le saitnIl y a cet éternel espoir qui persistennTu restes mon aminMon merveilleux aminnIl est une âme que je ne perd pas de vue, vue de l'espritnComme un frère comme un signe comme une énergiennIl reste mon aminIl reste mon ami