Je marchais vers les cathédrales sous-terrainesnDans la nuit, les chiens errants à crocs blondsnLes zonards sous éthyle s'taillaient un bout de déveinenEt dansaient sous une pluie de désillusionsnJe m'effondrais en sous-sol pour te dire qu'on s'effacenNous absorbions l'alcool et déchirions l'espacenD'un bien-être absolu qui ne durerait pasnOù nos candeurs perdues reviendraient faire les cent pas.nnCherchais dans les décombres un petit bout de moi.nEt j'y ai vu tout l'immonde à qui tu faisais don de toi.nnMais nJe n'me suis vu nulle part, même pas dans ton joli coeur.nJe n'me suis vu nulle partnSi tu crois m'y avoir vu, c'est sûrement une erreur.nn... dans un univers creux.nOù le saint tout profit faisait fi de nos cas.nMoi je croyais, moi je croyais que demain ça serait mieux.nToi tu voulais du présent, en veux-tu ? en voilà !nnCherchais dans les décombres un petit bout de moi.nEt j'y ai vu tout l'immonde à qui tu faisais don de toi.nnMais nJe n'me suis vu nulle part, même pas dans ton joli coeur.nJe n'me suis vu nulle part.nSi tu crois m'y avoir vu, c'est sûrement une erreur.nnMais nJe n'me suis vu nulle part, même pas dans ton joli coeur.nJe n'me suis vu nulle part.nSi tu crois m'y avoir vu, c'est sûrement une erreur.nnLa sens-tu la petite planète qui se réchauffe ?nL'étouffement des rages, les subtiles muselières.nLes portes claquent comme des gifles quand on vit comme on rêve.nEt que le temps frappe alors pour te dire viens, je t'enlève !nnCherchais dans les décombres un petit bout de moi.nEt j'y ai vu tout l'immonde à qui tu faisais don de toi.nnMais nJe n'me suis vu nulle part, même pas dans ton joli coeur.nJe n'me suis vu nulle part, si tu crois m'y avoir vu, c'est sûrement une erreur.