Espèce d'enfants de salaudnFils de putain et fils de chiennJe n'irais pas trouer ta peaunJe te laisse ton scalp et tes osnnNe crains pas de balles dans ton dosnnOiseau de malheur, gibier de potencenTu crains le toccin, la sentencenNe redoute pas ma vengeancenDans mes yeux plus de sanglotsnJ'enterre les colts et les couteauxnMême si je flanche un peunJe ne te ferais pas ce cadeaunnQu'on le veuille ou nonnQuand on a affaire à unnQu'on le veuille ou nonnC'est bien plus élégant, plus étonnantnDe s'en sortir vivantnQu'on le veuille ou nonnnQu'on le veuille ou nonnQuand on a affaire à unnQu'on le veuille ou nonnnnnMais je me fous du déshonneurnDu temps qu'il fait ou du bonheurnnJe n'attends rien, vieux scélératnSombre vaurien, vu les dégâtsnTrès doucement je prends le ventnnJe me souviens, je me rappellenUn beau matin les hirondellesnUn duvet sur le crâne rasénLe sourire sur la gueule casséenTandis que toi, fieffé salaudnDans ta maison, tes compagnonsnNe sont que regrets et remordsnnQu'on le veuille ou nonnQuand on a affaire à unnQu'on le veuille ou nonnC'est bien plus élégant, plus étonnantnDe s'en sortir vivantnQu'on le veuille ou nonnnQu'on le veuille ou nonnQuand on a affaire à unnQu'on le veuille ou nonnC'est bien plus élégant, plus étonnantnDe s'en sortir vivantnQu'on le veuille ou nonnnQu'on le veuille ou nonnC'est bien plus élégant, plus étonnantnDe s'en sortir vivant