Qu'on est bien, assis là sur ce banc, nÀ scruter les pigeons qui se vantentnLes boulevards sont bloqués par le gelnLes amours effacées par le selnnNi les cheveux blancsnNi le chénenN'auront raison de ce Cap HornnRien ne disparaît, tout se transformenRien ne disparaît, tout se transformenMa prunelle, ma prunelle oh oh oh ohnOh oh oh ohnnQu'on est rien, et c'est ce qui nous plaitnLes années défileront comme la sèvenEt les feuilles tapisseront les autelsnLes branches se courberont sous les pellesnnNi les cheveux blancsnNi les chaînesnN'auront raison de ce Cap HornnRien ne disparaît, tout se transformenRien ne disparaît, tout se transforme nMa prunelle, ma prunelle oh oh oh ohnnRien ne disparaît, tout se transformenRien ne disparaît, tout se transformenMa prunelle, ma prunelle oh oh oh oh nTe souviens-tu de ses formes dans la ?? desinéenTe souviens-tu de ses gestes lentement echapéesnnRien ne disparaît, tout se transformenRien ne disparaît, tout se transforme nMa prunelle, ma prunelle oh oh oh ohnx2